mercredi 2 février 2011

Une volonté jugulant la fatalité

Je réussis à capter la violence du sauvage déséquilibre des forces en présence. Il y a vraiment litige! Et, celui-ci est d’ordre autant moral que physique, autant spirituel que matériel. L’être étant complètement bafoué. Mais, comment peut-il ainsi se défendre dans un tel combat? Et, comment arriver à maîtriser sans rien détruire? C’est tout simplement une lutte pour sa propre survie. C’est aussi une question de vie ou de mort. Cette situation ne laisse que très peu de choix: devenir fou, se suicider ou passer.

Comme d’habitude, je choisis de passer. Cela signifie choisir la vie. Je n’ai donc d’autre choix que de canaliser et rediriger la violence subite d’une manière acceptable pour le plus grand bien de tous. Mais, il faut rétablir l’équilibre. Sinon, il y a risque de noyade dans les extrêmes. Et là, on peut, malgré nous, entraîner dans l’abîme ceux qui nous sont chers. Cela est loin d’être souhaitable. Voilà le défi qu’il nous donné de vivre, à nous individus ciblés.

Je sais que je suis sur la bonne voie, je le ressens. Mon chemin de vie se dessine devant moi. C’est apparemment la voie que je choisis d’emprunter. Je me laisse donc imprégner de l’énergie du guerrier, sentant que c’est ce dont j’ai besoin pour remplir ma mission. Cette énergie, c’est aussi celle dont j’ai besoin pour défoncer la porte quand le feu envahit rapidement ma maison.

Je peux donc maîtriser l’intensité de cette énergie masculine qui m’habite en la laissant se déverser sur le monde selon les besoins du moment. Alors, je prends les commandes. Alors, quand toute une organisation de gens remplis de malveillance vous prennent comme cible, c’est comme un bateau qui navigue sur une mer déchaînée. Le capitaine doit faire ce qu’il faut pour amener son équipage à bon port car, tout peut arriver. Alors, peu importe de quoi on a l’air, survivre est la seule chose qui compte.

Etant moi-même visée par un tel phénomène, le Gang Stalking, je vis à la fois une expérience concrète et active de toute cette souffrance. Mais, par l’observation réfléchie dont j’ai l’habitude, me permet de réussir non seulement à capter l’esprit de la chose mais à comprendre ce qui m’arrive, même si je ne peux pas tout expliquer. Cela m’offre aussi la possibilité de traduire ce qui est dicible en mots et de transmettre ensuite au monde cette connaissance.

C’est aussi pour moi, une occasion d’effectuer une sorte de pèlerinage. Je me plais à dire que je fais une retraite spirituelle au lieu de simplement vivre les choses comme un grand isolement. Je suis retirée et j’écris, tout simplement. Je suis certaine d’être inspirée par le Divin. J’écoute chaque jour la guidance de mes anges gardiens qui semblent me conduire vers la lumière tout en faisant disparaître une à une les barrières du temps et de l’espace. Mais, aussi, ils me permettent d’entrer en contact avec ceux et celles dont j’ai entendu l’appel au loin, ceux qui n’étaient pas entendus par le reste du monde. Ainsi, malgré toutes mes souffrances, je partage mes savoirs avec ceux dont je sais qu’ils sauront quoi faire de ces trésors. Ces germes semés ici et là, aux endroits opportuns, édifient petit à petit une grande oeuvre de collaboration qui restaure l’amour dans l’humanité qui s’est égarée. Cela, pour l’amour de nous tous!

France Quenneville, 2 décembre, 2011.

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